Une psychologue dans un "point santé jeunes", précisant qu'elle "reçoit très rarement de jeunes mineurs", pose 3 questions à la CNCDP - Si un jeune mineur m'est adressé par un tiers (infirmière scolaire par exemple), avant de le recevoir, dois-je obtenir le consentement de ses parents ?
- Si un jeune vient me consulter de sa propre initiative, dois-je informer ses parents de cette consultation ?
- Dois-je obtenir le consentement des parents avant de commencer un suivi psychologique avec leur enfant ?
Année de la demande : 2000 Demandeur : Contexte : Objet de la demande : Questions déontologiques associées : - Consentement éclairé
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Bien que la situation de mineur implique nécessairement l'existence de responsables légaux de ce mineur desquels "le psychologue requiert leur consentement éclairé en tant que détenteurs de l'autorité parentale "(article 10, Titre I), la CNCDP insiste sur le fait que "le psychologue peut recevoir, à leur demande, des mineurs" même si le même article (article 10) précise que "son intervention auprès d'eux tient compte de leur statut, de leur situation et des dispositions légales en vigueur." |
Avis 00-11.doc |